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Bien que je puisse écrire des romans de plusieurs centaines de pages, je suis parfaitement incapable d'aligner deux vers de poésie. Ce genre littéraire, qui ne rencontre malheureusement plus aujourd'hui un grand succès, fut à ce point admiré par les anciens qu'il court sur l'empereur Alexandre le Grand l'anecdote suivante. Un jour qu'il était amené à choisir entre laisser la vie à un poète et à un prêtre, il décida de sacrifier le prêtre et laissa la vie sauve au poète.
Il m'arrive parfois dans mes romans de faire référence à de grands poètes, notamment du Dix-neuvième siècle. C'est pourquoi j'ai eu envie de partager avec mes lecteurs quelques-uns des poèmes qui m'ont apporté le plus d'émotions. Cette liste est courte pour l'instant, mais je la compléterai petit à petit.
En attendant, je vous invite à prendre le temps de déguster ces chefs d'oeuvre. Installez-vous confortablement, au coin d'une cheminée où flambe un bon feu si vous avec la chance d'en posséder une, servez-vous un bon alcool ou une bonne liqueur et lisez le texte à haute voix, lentement, pour en apprécier, comme disait Rabelais, la "substantifique moëlle".
La Mort du Loup (Alfred de Vigny)
Le Mont des Oliviers (Alfred de Vigny)
L'expiation (Victor Hugo)
Le Dormeur du Val (Arthur Rimbaud)
Tu seras un homme mon fils (Rudyard Kipling)
La mort d'Hippolyte (extrait de Phèdre (Jean Racine)
Barbara (Jacques Prévert)
L'Orchidée sauvage (An Braz)
Demain, dès l'aube, à l'heure où blanchit la campagne (Victor Hugo)
Extraits de Cyrano de Bergerac (Edmond Rostand)
Tonton Georges (An Braz)